Par vampiredarknews | septembre 30, 2007 - 8:39
Rubrique: Cinéma/TV/DVD

L’histoire : Contrairement à ses semblables, Mick St. John use de son statut de vampire pour venir en aide aux humains et non pour s’en nourrir. Son travail de détective privé l’amène à faire la connaissance de Beth, une mortelle qui ne le laisse pas indifférent. Mais Mick est-il prêt à lui révéler son terrible secret…

Preview : Le principe de départ de Moonlight est simple : un cop show basé sur un duo d’enquêteurs (un privée, une journaliste) antinomiques (un vampire, une mortelle) mais néanmoins complémentaires et très vite attirés l’un par l’autre. À ce postulat sans grande originalité s’ajoute malgré tout des intentions premières fort louables.

Critique :D’une part, la série prend à contre-pied la quasi-totalité des légendes urbaines sur les vampires (soleil, ail, pieu…). Ensuite, la relation qui se noue peu à peu entre les deux personnages puise tout à la fois ses racines dans le mythe du protecteur / petite fille en détresse comme dans celui de la Belle et la Bête (Ron Koslow avait d’ailleurs œuvré sur la série éponyme avec Linda – Sarah Connor – Hamilton à la fin des années 1980). Enfin, sans doute conscient que le créneau du scientifico-médico-légal est déjà bien chargé (CSI, Bones, NCIS, Numb3rs…), les créateurs ont opté pour la bonne vieille méthode à nouveau en vogue (The Closer) du « petit poucet d’indices », le tout à la sauce « polar noir des années 1930/1940 ». Tous les standards du genre sont donc présents : le détective mélancolique et désabusé s’exprimant en voix-off, le cabriolet « roulant » en studio (rear-projection volontairement visible), le bureau du privé à l’ancienne (lettrage sur la porte vitrée)… Ce n’est pas un hasard non plus si, à la production de Moonlight, se trouve un homme déjà à ce poste sur une autre série, Veronica Mars, tout aussi influencée par ce genre cinématographique : Joel Silver.

Mais bien vite, les trois lettres « CBS », network spécialisé es procédural, reprennent leurs droits. Dans une succession (in)utile de plans accélérés/ralentis (sans doute en vue de souligner l’univers vampirique de la série) et de montage clipesque, le pilot n’a de cesse d’aller et venir aux quatre coins de la ville, au fil de la progression de l’enquête, avant de se refermer sur le quota d’effets spéciaux indispensables pour un tel sujet. Au milieu d’un tel déballage un peu foutraque, toutes les belles intentions de départ se retrouvent dès lors en partie annihilées, rabaissant de facto Moonlight au niveau d’un ersatz d’Angel à la sauce procédural.

Les chiffres : La baisse était également à l’ordre du jour du côté de l’audimat puisque le season premiere de Moonlight diffusé vendredi 28 septembre 2007 a rassemblé 8,6 millions de téléspectateurs, soit un peu moins que son lead in et son lead out de la soirée : le premier épisode de la saison 3 de Ghost whisperer, et celui de la saison 4 de Numb3rs (respectivement 8,7 et 9,2 millions). Mais surtout, Moonlight s’incline face à Las Vegas, de retour sur NBC pour sa cinquième saison, suivi par 9,3 millions de téléspectateurs.

Source: http://www.ecranlarge.com/article-details-7052.php

Par vampiredarknews | septembre 3, 2007 - 8:45
Rubrique: BD, Artwork

Pour les plus jeunes, amateurs de BD :

Une drôle de rencontre…
Petit Poilu part à l’école. En chemin, un brouillard dense et épais le met sur la route d’une maison lugubre que l’on dirait hantée… Malgré sa peur, notre petit bonhomme se décide à y entrer. Il y fait alors une étrange rencontre : un homme malingre et triste, recroquevillé sur lui-même… Attention Petit Poilu, ne t’approche pas de lui ! Cet homme n’est autre que… Le Vampire ! Cours ! Cours vite !

Trop tard…

Comment notre Petit Poilu va-t-il se sortir des griffes du Vampire ? Vous le saurez en lisant cette histoire riche en émotions, toute en finesse et pleine d’un humour tendre et cocasse.

Un récit d’une profondeur et d’une richesse étonnantes à dévorer à pleines dents dès l’âge de trois ans.

Plus d’info ici :
Fiche sur le site des éditions Dupuis
Site de la collection Puceron